Luc, Systems Engineering Manager

Plus de témoignages
Article récupéré sur Stepstone

 

Luc, ingénieur à la STIB, raconte : "Nous réalisons nos rêves ici !"

Toute personne qui voyage à Bruxelles en bus, tram ou métro fait appel à la société de transport public STIB. Chaque jour, près de 10 000 collaborateurs gèrent les rouages complexes des transports publics bruxellois. Luc De Vlieghere (57 ans) travaille au département Transport Systems de la STIB. Il gère l’équipe System Engineering depuis 5 ans : 12 ingénieurs qui collaborent à l’intégration d’un réseau de métro modernisé.

Le métro est un sujet technique et complexe. Tunnels, alimentation en énergie, trains, systèmes de sécurité, information des passagers, systèmes de communication entre le conducteur et le centre de contrôle… Chaque élément a un impact sur les autres. Dans le cadre d’une rénovation majeure, l’harmonisation des différents facteurs est donc essentielle.

 

Un terrain de jeux

« Pour un ingénieur, ce projet est un véritable terrain de jeux , annonce Luc De Vlieghere en riant. Lorsque le lancement de ce programme (de modernisation du métro, NDLR) a été annoncé il y a cinq ans, j’y ai perçu une incroyable opportunité. J’ai intégré la STIB et je n’ai jamais regretté ma décision. » Luc a surtout choisi cet emploi pour sa pertinence sociale. À Bruxelles, la demande de transports publics est immense. Sans parler des enjeux climatiques, du problème de la mobilité et de la croissance de la ville : en tant que société de transport public, la STIB joue un rôle clé dans ce domaine.

 

Un travail de pionnier

Luc et son équipe effectuent un travail de pionniers. Auparavant, la STIB travaillait principalement sur des projets individuels : achat de nouveaux trains, amélioration de l’information aux passagers, renouvellement des arrêts de bus, etc. Aujourd’hui, le département System Engineering œuvre à l’intégration d’une trentaine de projets groupés pour offrir au nouveau métro une efficacité maximale. Chaque membre de l’équipe est chargé d’aspects partiels qu’il coordonne avec toutes les parties prenantes.

Car au volet technique s’ajoute l’opérationnel : conducteurs, dispatching, assistance aux passagers, sécurité, centres d’expertise technique, maintenance, etc. « Nous devons parfois utiliser toute notre force de persuasion pour obtenir le soutien des parties prenantes. Près de la moitié de notre temps est consacrée à la concertation. Nous recevons de toutes parts des connaissances et des avis intéressants auxquels nous devons apporter des solutions, poursuit Luc. L’avantage, c’est qu’au final, les décisions obtiennent un large soutien. ».

 

Une croissance en bonne voie

Ces dernières années, les autorités belges ont pleinement reconnu l’importance de transports publics efficaces et optimisés à Bruxelles. Des budgets adaptés ont également été libérés à cet effet. « Je trouve agréable de travailler dans un environnement qui bénéficie d’une certaine marge de manœuvre, où les possibilités sont nombreuses », poursuit Luc. La STIB s’est très clairement engagée sur la voie de la croissance et d’une mobilité tournée vers l’avenir.

« Ici, on peut rêver en grand et réaliser ces rêves. Il faut surmonter un certain nombre d’obstacles pour y parvenir, mais ils rendent notre travail encore plus passionnant, ajoute Luc. Il suffit de penser au fait que nous devons déployer nos solutions sans jamais interrompre la circulation du métro ! » En tant qu’ingénieur à la STIB, vous travaillez dans un environnement technique extrêmement varié. Ingénierie, technologie énergétique, informatique, signalisation de la sécurité, technologie des véhicules… vous abordez tous ces domaines, et bien d’autres encore.

 

Choisir un travail en connaissance de cause

« Ensemble » est l’un des mots clés de la STIB. Ce n’est qu’en travaillant ensemble que l’on peut avancer, telle est la devise de l’entreprise. Vous préférez jouer en équipe plutôt que de marquer en solo ? Alors vous ne pourrez que vous y épanouir. « Beaucoup de gens choisissent ce travail en connaissance de cause, conclut Luc. Non, je n’ai pas de voiture de fonction. Et oui, je pourrais probablement obtenir un salaire légèrement plus élevé ailleurs. Mais serais-je plus épanoui ? Ce qui m’importe réellement, c’est le rôle essentiel de mon travail au sein de la société : transporter des personnes, permettre des rencontres, rassembler des amis, réaliser des voyages, optimiser la mobilité. D’autre part, j’y trouve un excellent équilibre entre vie privée et professionnelle, et je reçois suffisamment de compréhension en cas de problème personnel. »

Toute personne qui se sent attirée par l’histoire de Luc peut tenter sa chance avec l’organisation bruxelloise. Après tout, La STIB est toujours ouverte à accueillir des ingénieurs ou des professionnels de l’informatique !

Plus de témoignages